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The host 4k ultra hd

4,5 4,5 étoile(s) sur 5 1 271 évaluations

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Blu-ray Version 3 disques
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Genre Fantastique
Format Couleur
Contributeur Park, Hae-Il, Bong, Joon-Ho, Song, Kang-Ho, Bae, Doona
Langue Français, Coréen
Durée d’exécution 2 heures

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Description du produit

Restauration 4K validée par Bong Joon-ho
Boîtier rigide à fermeture magnétique en édition limitée, visuel panoramique avec illustration exclusive réalisée par Madison Coby, zéro plastique
Contient :
- le 4K Ultra HD du film (Dolby Vision et HDR10, VF DTS-HD MA 5.1 / VOST Dolby Atmos trueHD)
- le Blu-ray du film (VF DTS-HD MA 5.1 / VOST Dolby Atmos trueHD)
- un Blu-ray de bonus
- le storyboard complet traduit en français et anglais (334 pages)

Détails sur le produit

  • Rapport de forme ‏ : ‎ 1.85:1
  • Dimensions du colis ‏ : ‎ 21 x 17,1 x 3,9 cm; 830 grammes
  • Réalisateur ‏ : ‎ Bong, Joon-Ho
  • Format ‏ : ‎ Couleur
  • Durée ‏ : ‎ 2 heures
  • Date de sortie ‏ : ‎ 20 décembre 2023
  • Acteurs ‏ : ‎ Park, Hae-Il, Bae, Doona, Song, Kang-Ho
  • Sous-titres : ‏ : ‎ Français
  • Langue ‏ : ‎ Français (DTS-HD 5.1)
  • Studio  ‏ : ‎ The Jokers
  • ASIN ‏ : ‎ B0CJ9WFQ8B
  • Pays d'origine ‏ : ‎ France
  • Nombre de disques  ‏ : ‎ 3
  • Commentaires client :
    4,5 4,5 étoile(s) sur 5 1 271 évaluations

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Richart Cisneros
5,0 sur 5 étoiles Buena edición.
Commenté au Mexique le 26 novembre 2023
Excelente edición con subs en español. Llego sellada y excelentes condiciones. Igual como se muestra en las fotos.
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Richart Cisneros
5,0 sur 5 étoiles Buena edición.
Commenté au Mexique le 26 novembre 2023
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Images dans cette revue
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Samson Lee
5,0 sur 5 étoiles Excellent
Commenté au Royaume-Uni le 4 mars 2024
But without dolby atmos
LD
5,0 sur 5 étoiles « Un jour, j’ai vu une sorte de monstre. J’ai eu aussitôt le rêve de devenir metteur en scène »
Commenté en France le 4 mai 2024
Étant donné que Bong Joon-ho est non seulement devenu le chef de file incontesté du nouveau cinéma coréen ayant émergé à la toute fin des années 1990 et au début des années 2000, mais que le succès planétaire de Parasite (2019) a logiquement remis en valeur toute sa filmographie, peut-être n’est-il pas plus nécessaire que cela de remettre en contexte The Host et de le placer juste après Memories of Murder, le thriller qui l’a fait connaître et est devenu en quelques années un modèle en Corée mais aussi partout ailleurs, à en juger par le fait qu’on s’en inspire autant en Chine qu’en Espagne par exemple. A la rigueur on pourrait opportunément rappeler que Memories of Murder et The Host n’ont attiré dans les salles françaises qu’un nombre assez restreint de spectateurs, ce qui désespérait les gens comme moi qui voyaient dans de tels films un salut possible pour un cinéma de genre spectaculaire qui était en voie d’épuisement, notamment aux Etats-Unis. Aujourd’hui que ces films ont gagné, et c’est tant mieux, un statut particulier, j’ai pour ma part une pensée pour les distributeurs valeureux qui tentent décennie après décennie de faire connaître d’un large public des œuvres venues d’ailleurs qui ne bénéficient pas du rouleau compresseur commercial des majors américaines. Le cas de Bong Joon-ho est presque un cas d’école, et chapeau à ceux qui ont cru en Memories of Murder, The Host ou Mother, à l’heure où le succès était loin d’être assuré et au rendez-vous. Aujourd’hui, si The Jokers peut sortir des éditions méga-collectors de Memories of Murder ou The Host, c’est bien en raison de ce statut particulier, que je ne regretterai certes pas pour ma part tant j’aime autant ces films aujourd’hui qu’en les découvrant dans les salles à leur sortie.

A propos de la sortie en vidéo de Mother en 2010, j’écrivais : « Mother (2009) est le 4ème film de Bong Joon-ho, après Barking Dog (2000, non distribué en France), Memories of Murder (2003) et The Host (2006) – sans compter un des épisodes du film à sketches Tokyo !. Dès son 2ème film, il est apparu comme un des plus doués des jeunes cinéastes coréens. Aujourd'hui, cela ne fait plus guère de doute : Bong Joon-ho est un réalisateur très accompli doublé d'un auteur à part entière, dont les obsessions font l'objet de savantes variations, ce que Mother prouve parfaitement.

On retrouve dans ce film, outre le fond de genre – l'enquête (individuelle ici), le travail de la police, même s'il n'est pas central comme dans Memories of Murder – le sens très subtil du mélange des genres, la proximité du lyrisme et du grotesque, la dimension de satire sociale, le rapport très étroit des personnages à l'espace dans lequel ils évoluent : bref, des traits qui étaient évidents dès le départ chez Bong Joon-ho et qui font la grande force de ses deux précédents films, également caractéristiques des meilleurs réalisateurs coréens, comme par exemple Lee Chang-dong. »

Ces traits, on aura pu les retrouver ensuite dans sa grande production internationale Snowpiercer (2013), dans laquelle il sera parvenu à ne pas brader son talent, quelles que soient les limites qu’on veuille bien y voir, dans Okja (2017), qui n’est jamais sorti de la prison dorée de la plateforme à laquelle il était hélas destiné, et bien sûr dans Parasite (2019). Mais c’est bien dans Memories of Murder et dans The Host que Bong Joon-ho a pu les poser d’emblée avec une maîtrise enviable.

Le rapport à l’espace dont je parlais plus haut éclate nécessairement encore un peu plus dans The Host que dans Memories of Murder, qui était déjà de ce point de vue une réussite exemplaire. Si The Host se distingue notamment par son mélange des genres et son côté caracolant pour lequel le metteur en scène a bien volontiers reconnu qu’il est allé puiser dans la comédie à l’italienne, c’est ce rapport à l’espace qui rend le film si puissant. Dans cette capacité à penser les valeurs de plan en fonction des situations et des lieux, on reconnaît les cinéastes les plus inspirés s’agissant de comment capter les êtres humains dans le monde, les rapports qu’ils entretiennent avec leur environnement et entre eux. Quand cela se double de suspense, il est évidemment encore plus important que s’élabore une relation complexe à l’espace et à ce que l’on choisit de montrer. Bong Joon-ho montrait dans ses deuxième et troisième films que cette aptitude, il l’avait, et savait en user avec une variété de moyens considérable – voir notamment comment il parvient à varier la captation des positions et des actions aussi bien dans les souterrains que sur les bords du fleuve Han.

A la revue Positif, qui l’interviewait pour son numéro 549 de novembre 2006, Bong Joon-ho déclarait : « Quand j’étais jeune, je m’intéressais aux monstres, en particulier à celui du Loch Ness en Ecosse. Quand j’étais au collège, je passais beaucoup de temps à la fenêtre de mon appartement. Un jour, j’ai vu une sorte de monstre qui courait sur le pont Cham-sil. J’ai eu aussitôt le rêve de devenir metteur en scène. Depuis, j’ai toujours voulu transposer ce souvenir dans un film. Je vis à Séoul, donc j’ai pensé à une créature possible dans ce contexte. Une forme plus réaliste de science-fiction qui nous relierait à la vie quotidienne dans notre ville. Le fleuve Han pour nous est comme la Seine pour les Parisiens, un espace concret qui nous est très familier. J’étais très intéressé par cette combinaison d’imaginaire et de réalité. (…) Je crois que [mélanger les genres] est mon style : Memories of Murder est une histoire très sombre de ‘serial killer’, mais il y a encore des éléments de comédie. J’aime mélanger les genres. Je ne le fais pas de manière préméditée, mais cela sort ainsi. Je pense que les deux films ont quelque chose en commun quant aux personnages. Dans Memories of Murder, les inspecteurs de police sont très confiants, mais pas très compétents. Ils sont de manière caractéristique dans des situations tridimensionnelles. Dans The Host, la famille est un peu dingue et inorganisée. Quand ces gens incompétents sont confrontés à des situations difficiles, il en naît de l’humour. Pour résoudre leurs problèmes, les héros, dénués de pouvoirs, doivent traverser des événements comiques et tragiques. Inconsciemment, je mélange ces éléments. La seule chose que j’ai créée consciemment, c’est la créature. Je crois que, surtout au début, ce n’est pas un monstre très conventionnel. Je voulais que le film ait une allure documentaire, quand la créature apparaît et que la famille doit la combattre. » On le constate, si Bong Joon-ho assure qu’en écrivant son scénario il insiste sur ce qui « sort ainsi », « inconsciemment », c’est bien dans le mélange de tous les éléments, des genres et des différents types de captation, de la volonté de faire documentaire à une façon de magnifier par la caméra toute mythifiante, que se tient son film. C’est la raison pour laquelle, même si certains en ont douté à l’époque et en doutent sans doute encore aujourd’hui, The Host non seulement résiste à la comparaison avec d’autres « films de monstre » bien connus, mais aussi résiste admirablement à l’épreuve du temps – cela ne fait certes qu’une quinzaine d’années, mais en ce qui me concerne, une fois mis de côté les progrès évidents opérés en matière d’effets spéciaux numériques, The Host reste ce drôle de mélange d’une richesse admirable en raison même de son hétérogénéité et de sa facture inspirée.

Point n’est besoin d’épiloguer sur l’interprétation, tant sa famille dysfonctionnelle a été composée aux petits oignons. Song Kang-ho était déjà un acteur ayant fait ses preuves, et ceux qui l’avaient vu non seulement dans Memories of Murder mais aussi par exemple dans les films de Park Chan-wook (JSA, Sympathy for Mr Vengeance) savait à quel point il en avait sous le pied. On connaît la suite, qui aura évidemment culminé pour lui comme pour son metteur en scène avec Parasite. Bae Doo-na et Park Hae-il n’étaient pas encore les valeurs sûres du cinéma coréen qu’ils sont devenus mais étaient déjà d’excellents acteurs, et pour Park Hae-il avait déjà tourné avec Bong dans Memories of Murder – voir pour des films récents avec eux About Kim Sohee de July Jung et Decision to Leave de Park Chan-wook. Go Ah-seong est au diapason, et Bong Joon-ho la reprendra pour reformer avec Song Kang-ho le couple père-fille de Snowpiercer.

C’est grâce à Bong Joon-ho et à quelques autres que le cinéma coréen est aussi exposé depuis quelques années. Je ne saurai assez recommander à ceux que ce cinéma intéresse de se pencher sur son histoire, longue et riche, ce qui est désormais possible grâce à un très bon ouvrage paru en cette fin 2023 : Hallyuwood - Le Cinéma coréen, de Bastian Meiresonne (EPA).

EDITION BLU-RAY + 4K FRANCAISE THE JOKERS (2023)

Trop longtemps, ce film n’a pas bénéficié d’une très bonne mise en valeur en vidéo. S’il avait été passé en blu-ray, pour un bon résultat global, celui-ci était épuisé depuis bien trop longtemps pour que l’on ne souhaite pas une nouvelle édition plus fournie. La voici, de pair avec la 4K, et bien sûr avec l’apport très précieux, comme pour l’édition collector de Memories of Murder en son temps, du storyboard intégral.

Le visuel réalisé pour le coffret est de toute beauté, et panoramique. Les disques sont logés après la couverture, au recto, le gros logement étant ensuite réservé au très épais livret proposant le storyboard. Très évidemment, mieux vaut déconseiller à ceux qui découvriraient le film avec cette édition de compulser ce livret avant, de même qu’il vaut mieux conserver les suppléments vidéo pour après. S’agissant de ce storyboard, notons d’une part qu’il est trilingue (coréen, anglais, français), d’autre part qu’il a fait l’objet d’un travail considérable afin que les différentes sources soient bien insérées qu’elles soient parfois confrontées aux plans tels que visibles dans le film terminé.

Les bonus vidéo sont pour partie déjà connus mais en partie seulement, les anciens étant tous repris. Au titre des nouveautés, il y a notamment la masterclass réalisée au début de cette année au Grand Rex, menée par Thierry Frémaux de façon tout à fait correcte, même si comme souvent elle aurait dû être deux fois plus longue pour que l’on fasse plus que survoler certains aspects centraux. Autre nouveau supplément : le documentaire rétrospectif « Histoires de famille », qui hélas ne fait pas figurer tous les protagonistes mais revient sur l’aventure du film en détail. Seul manque à l’appel le commentaire audio passionnant de Bong Joon-ho, lequel dans mon souvenir se trouvait sur l’édition américaine et pas sur la française (à vérifier toutefois, je n’ai plus les deux sous la main). Mais bon, avec une telle flopée de suppléments, on a déjà son content.

Reste le master, qui ne fera pas que des heureux, comme souvent aujourd’hui, y compris lorsque le metteur en scène supervise le travail. C’est le cas, et la restauration a non seulement été réalisée en Corée – d’ailleurs, les quelques passages en anglais sont sous-titrés en coréen et pas seulement en français – mais bien supervisée à tous les stades par Bong Joon-ho. C’est dont lui qui a souhaité un master plus sombre, avec une dominante de teintes tirant sur le vert. On peut préférer la plus grande netteté et l’équilibre des couleurs telles que rendues dans le master du blu-ray d’il y a une quinzaine d’années, mais il semblerait bien que le nouvel état du master réponde intégralement aux choix du metteur en scène. Les pistes sonores (en coréen comme en français) sont quant à elles très bien traitées.

J’imagine que comme pour Memories of Murder avant lui ce coffret collector sorti tout d’abord tout seul sera ensuite accompagné d’éditions blu-ray et 4K + blu-ray séparées. Bien sûr, cela signifie que l’on perd des suppléments en cours de route d’une part, et naturellement le livret avec le storyboard. A vous de voir si une telle édition vous semble nécessaire ou s’il est urgent d’attendre des éditions bien moins onéreuses afin de bénéficier du film dans un master restauré, éventuellement en 4K.

Rappelons en outre que les éditions américaines Criterion sont les seules à avoir fait paraître Okja en dvd, blu-ray et 4K. Cette édition fait partie des rares chez eux à être toutes zones, ce qui fait que l’on peut se porter aussi bien sur la version britannique qu’américaine de ces disques et que l’on n’aura aucun problème à lire l’une comme l’autre sur nos platines. Comme toujours chez Criterion, en revanche, pas d’autre langue que l’anglais pour les sous-titres (mais il y en a tout au long du film, pas seulement lorsque les dialogues sont en coréen). Criterion a également sorti de bonnes éditions de Memories of Murder et de Parasite, pour le coup non dézonées et accessibles aux seuls anglophones détenteurs d’un lecteur dvd ou blu-ray dézoné.
6 personnes ont trouvé cela utile
Rapport
Emanuele
5,0 sur 5 étoiles Filmone
Commenté en Italie le 18 novembre 2023
Film bellissimo
Lauro
5,0 sur 5 étoiles Extraña y entretenida en buena edición blue-ray
Commenté en Espagne le 3 juillet 2017
Soy un seguidor casi incondicional de Joon-ho Bong desde que vi "Memories of Murder", así que a nadie puede parecerle raro que recomiende también esta película, extraña y entretenida, y que, desde mi punto de vista, tiene algo más de fondo de lo que parece dar de sí la aparición de un monstruo en el río Han de Seúl.

La edición en blue-ray es muy buena en cuanto a la calidad de imagen. Trae audio en original coreano, inglés, castellano y catalán y subtítulos en castellano y catalán. También trae algunos extras interesantes.

La película obtuvo el premio a los Mejores efectos especiales en el Festival de Cine Fantástico de Sitges el año 2006.
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